Salut les amis! Alors aujourd’hui on va faire une pause dans nos analyses de livres et discuter un peu avec quelqu’un qui s’y connaît en développement personnel. Et oui, Karim est coach de vie, spécialisé dans la reconversion professionnelle. J’ai rencontré Karim par hasard dans un bar de ma ville de Valencia en Espagne. Deux Français intéressés par le développement personnel qui se rencontrent en Espagne, c’est marrant quand même! Après avoir fait une séance de coaching avec lui, j’ai pensé que ce serait très enrichissant de pouvoir partager quelques mots sur le coaching et la reconversion professionnelle sur ce blog. Donc voilà, mes chers lecteurs je vous laisse profiter de cette interview d’expert:
1.Bonjour Karim, alors pour commencer, peux-tu te présenter?
-Hello Manu ! Ravi d’avoir croisé ta route et merci à toi pour cet espace d’échange que tu m’as gentiment proposé.
Alors pour parler rapidement de moi, je dirai que je suis un sensible, créatif, touche-à-tout en désir brûlant d’avancer sur mon chemin et dans la découverte du potentiel humain afin de participer à l’éveil des consciences. Tout un programme ha ha!
J’ai 37 ans, papa d’une choupinette de 3 ans, et vis à Valencia en Espagne où la vie est plus douce qu’à Paris.
Coach spécialisé en reconversion professionnelle & Entrepreneuriat, j’accompagne principalement les personnes sensibles, créatives et multi-talent qui ont du mal à trouver leur place dans la société. Je les aide à découvrir et se lancer vraiment dans leur véritable chemin de vie.
Le coaching fonctionne à merveille en vidéo et même par téléphone, ainsi la quasi-totalité de mes accompagnements se font à distance vu que ma clientèle est francophone.
Je travaille également sur un projet d’application en Réalité Virtuelle (mon ancien métier) qui sera un mélange de méditation, hypnose et visualisation et dont le but est d’aider à se connecter à son potentiel, et activer son pouvoir d’autoguérison.
2. Comment as-tu découvert le monde du développement personnel et du coaching?
-Très jeune j’ai été attiré par le monde de la connaissance de soi. Tu vas rire, mais je crois que cela a commencé avec Dragon Ball Z, où j’étais fasciné par les pouvoirs des Sayans et le fait que Sangoku se mettait à méditer pour révéler un potentiel en lui.
Sinon je crois me souvenir que mon premier contact « sérieux » vers 12 ans a été avec un vieux livre de yoga qui traînait dans la bibliothèque de mes parents. Cela parlait de respiration, de prana et de méditation, et cela me parlait grave!
Ensuite pendant mon adolescence je dois dire que j’étais très introverti et timide. Cela me compliquait la vie, et je suis tombé sur le bouddhisme et la méditation. Cela apaisait un peu mon mal-être mais ce n’était pas suffisant.
Et quand j’ai commencé à travailler, à devoir faire mes choix en tant qu’adulte et à gagner de l’argent, là, j’ai commencé à faire un travail sur moi et à voir des thérapeutes, faire des stages, participer à des séminaires, etc.
Les années passant je me rendais compte que j’adorais cet univers de la connaissance de soi et de la spiritualité. Plus j’apprenais sur moi, et plus il y avait à apprendre. Je savais que ma voie était dans l’accompagnement. De plus que j’ai toujours été celui qui savait écouter, et voyait que les gens se confiaient souvent très rapidement à moi. Le coaching a donc été le chemin naturel à suivre pour moi.
3. Parle-nous un peu de ta reconversion, comment es-tu passé de salarié à entrepreneur? Par quelles étapes es-tu passé?
-Petit, j’étais un enfant sage, bon élève et j’écoutais mes parents. J’ai donc suivi les rails de la société: Bac scientifique, école d’ingénieur, “bon travail” dans une grosse entreprise. Quand je me suis retrouvé à travailler, c’était quasi la première fois que je devais faire des choix pour moi.
Pendant 12 ans j’ai travaillé dans le domaine de la Réalité Virtuelle en tant que développeur. Bien que j’aime beaucoup cet univers et le potentiel de cette technologie, je ne me sentais pas vraiment à ma place. Passer la journée derrière un ordinateur, avoir des horaires fixes, demander la permission à mon boss pour les congés, ne pas choisir les sujets sur lesquelles travailler, ne pas exploiter mes talents et richesse intérieures… tout ça faisait que le mal-être que je sentais en moi n’avait cesse de grandir.
Je voulais me reconvertir, mais pendant des années je n’osais pas me lancer. Le déclencheur pour moi a été de me dire « fuck-it! ». J’avais peur d’aller dans l’inconnu, mais ma souffrance était plus grande que ma peur, je me suis dit que je n’avais qu’une seule vie et que je n’avais pas envie de continuer de la gâcher encore pendant des années.
Alors j’ai demandé à mon employeur de passer en temps partiel (3 jours de travail par semaine), et j’ai fait un prêt à la banque de 6000€ pour me payer une formation de coaching.
Je ne te cache pas que tout cela m’a fait peur. Mais c’est fou le bien que cela m’a fait!
Et puis ma vie a commencé à changer drastiquement. Je n’étais plus dans l’introspection et les ruminations quotidiennes, mais j’étais dans l’action et la nouveauté chaque jour. J’ai commencé à rencontrer de nouvelles personnes qui partageaient les mêmes centres d’intérêt que moi, qui avaient la même vision du monde. J’apprenais et me formais tous les jours sur des sujets qui me faisaient vibrer. J’avais l’impression d’arroser vraiment pour la première fois les graines qui avaient tant attendues en moi.
Et… wow !! Qu’est-ce que cela faisait du bien !
La clef a été de décider d’investir sur moi pour passer vraiment à l’action. Je n’avais pas de retour en arrière possible, et cela a vraiment été un cadeau pour moi.
Une fois ma formation de coach professionnel en poche, je quitte mon travail le jour de la naissance de ma fille. J’organise ensuite mon départ pour aller vivre en Espagne tout en commençant à développer mon activité de coaching en tant qu’indépendant.
Cela fait plus de 3 ans que j’exerce en tant que coach, et ce qui est génial c’est que ces 3 années en tant qu’entrepreneur ont été bien plus riche en travail sur moi que les 12 précédentes années où j’allais voir des thérapeutes.
Le truc quand tu es entrepreneur, c’est que tu ne peux plus rester caché et attendre dans ton coin. Tu dois te rendre visible, passer à l’action, et tout cela ce sont des formidables opportunités de grandir. Je pourrai en parler pendant des heures mais je ne voudrais pas faire trop long, alors je passe à la question suivante.
4. Pourquoi t’es-tu spécialisé dans la reconversion professionnelle?
-Même plus que la reconversion professionnelle, j’ai l’habitude de dire que je suis spécialisé en reconversion de projet de vie. Pour moi le projet de vie englobe le projet professionnel, car tu peux avoir un super travail enrichissant, nourrissant, stimulant, mais avoir une qualité de vie merdique à côté dans tes autres domaines de vie (couple, loisirs, relations…). Et au final faire une dépression !
J’accompagne les personnes à se construire leur projet de vie sur mesure, en harmonie avec qui ils sont vraiment, pour ne plus passer à côté de leur vie. Cela veut dire parfois se reconvertir dans un autre métier, mais le plus souvent ça va être de se lancer en tant qu’entrepreneur (que ce soit en projet principal ou à côté d’un travail fixe). Car de toute façon ma vision c’est qu’on est tous entrepreneurs de notre vie. Même en tant que salarié tu es en quelque sorte entrepreneur de ta vie, car ce sont les actions que tu prends, comment tu te positionnes, tu te vends, qui feront que tu te créera des opportunités d’évolution, du réseau et au final la qualité de ta vie.
Pour répondre à ta question, il a été naturel pour moi de me spécialiser sur cette thématique de reconversion pro / entrepreneur / projet de vie. Cela résonne avec mon parcours personnel, qui m’a donné un recul et une expérience sur ce sujet. Par ailleurs ma vision est vraiment d’oeuvrer au développement des consciences, avec une coloration autour de la spiritualité, et je pense que ma thématique d’accompagnement est un levier puissant à cela puisque le travail en général occupe 5 jours sur les 7 de ta semaine. C’est en général le facteur le plus impactant concernant ta qualité de vie. D’ailleurs plus de la moitié des actifs (55%) aspirent à une reconversion professionnelle, donc ça fait du monde…
Et je vais t’avouer un truc… c’est plus fort que moi de vouloir aider! En fait c’est facile pour moi de voir le potentiel des gens. Je vois leurs qualités, toutes les idées qu’ils ont, leurs talents et tout ce qu’ils peuvent faire de leur vie, tout l’or qu’ils ont entre leurs mains. Et ça me bouffe de voir à quel point la grande majorité des personnes que je rencontre se racontent du bull-shit et restent dans une vie fadasse. Ça me fait mal au coeur de voir autant de gaspillage humain !
Il y a tellement de personnes qui auraient besoin d’un accompagnement pour illuminer leur vie, mais le problème c’est qu’elles ne s’en rendent pas compte. Alors l’un des aspects de mon travail est de communiquer et de sensibiliser les gens sur le fait qu’ils ont du potentiel, qu’ils peuvent se construire une vie plus riche et plus heureuse. Parfois on ne peut pas voir ni résoudre ses blocages tout seul, et le fait d’investir sur soi est le meilleur investissement qu’on peut faire dans sa vie.
5.Est-ce que le fait d’avoir passé toi-même par une reconversion professionnelle t’aide aujourd’hui à mieux orienter tes clients?
-Alors oui bien sûr! Comme j’ai fait le chemin je peux en parler et guider. J’ai été confronté à mes peurs, mes résistances, mes blocages, et j’ai trouvé des moyens de les dépasser. Me lancer en tant qu’indépendant a été challenge et super-formateur et je suis aujourd’hui une version bien meilleure de moi-même que je l’étais il y a trois ans.
Et ça c’est quelque chose qui se transmet à un niveau énergétique, les clients le ressentent et cela les aide.
Un des apprentissages que j’ai pu avoir de ma reconversion par exemple, c’est qu’on sous-estime toujours ce qu’on est capable d’accomplir, et à quel point on est capable de grandir et de révéler notre potentiel. Et pour le faire, il n’y a qu’un seul chemin: le passage à l’action!
6. Qu’est-ce qui fait que le coaching soit selon toi, le meilleur métier du monde?
-Ha ha, je sais pas si c’est le meilleur métier du monde, cela dépend de chacun, mais c’est vrai qu’en ce qui me concerne, quand j’accompagne un client, je n’ai pas l’impression de travailler. C’est juste génial de mettre mes talents naturels et les savoirs que j’ai appris (et qui me font « kiffer ») au service des autres, et de voir à quel point mes clients peuvent avoir des prises de consciences et changer leur vie.
Je sais pas si je peux en parler ici, mais regarde par exemple ce qui s’est passé avec ta séance de coaching, je t’ai fait faire cet outil de coaching, et pour toi il y a eu cette prise de conscience que tu es plus heureux que tu ne le pensais. Et je t’ai vu pendant 10 minutes avec le smile. Ca c’est vraiment un super cadeau pour moi, ça a illuminé ma journée.
7. Comment vois-tu l’avenir du coaching d’ici quelques années? Est-ce que le coaching a le vent en poupe?
-Alors le terme de coaching est malheureusement un peu galvaudé en France. Mais cela se démocratise de plus en plus avec la montée du développement personnel et de la spiritualité (il n’y a qu’à voir la taille des rayons sur le sujet dans les librairies).
Ce qui est certain c’est que le coaching a un super avenir. De plus en plus de personnes comprennent l’utilité de faire un travail sur soi.
Par ailleurs, nous sommes à l’aube de changements sans précédent. Que ce soit économique, sociétal, politique, technologique ou spirituel, ce qui va venir va être énorme ! Une grosse vague est en train de se préparer (et je ne parle pas de cette « deuxième vague » dont parlent les médias de la peur). Même si nous ne savons pas exactement par quoi nous allons passer, ce qui est certain c’est que la vie œuvre pour apporter plus de conscience et de lumière. C’est notre chemin. Et comme le chemin va certainement secouer un peu, il y aura donc beaucoup de personnes en recherche et en demande d’accompagnement.
8. As-tu des conseils pour des personnes qui pensent à la reconversion mais qui n’osent pas se lancer? Quel est le facteur le plus courant qui fasse qu’une personne reste dans une situation professionnelle qui ne l’épanouit pas?
-Tout d’abord le facteur principal qui fait que les gens restent dans une situation professionnelle non épanouissante est la PEUR. Que ce soit la peur de l’inconnu, la peur de se tromper, la peur du regard des autres, la peur de ne pas être légitime, la peur de perdre sa sécurité matérielle…
Ce qui crispe souvent c’est la peur de lâcher une situation connue (même si elle est inconfortable voire source de souffrance). Il faut savoir que notre mental a toujours tendance à amplifier nos peurs ; elles sont toujours plus grandes dans notre tête qu’en réalité.
Il y a également la peur de se tromper. Et pour cela, il y a un travail à faire au niveau des perceptions pour comprendre que la perfection n’existe pas, la vie est mouvement et apprentissage. Cela permet petit à petit de s’autoriser à faire des erreurs, ce qui permet de sortir du perfectionnisme et de l’indécision paralysante. Bouddha disait “Je n’ai jamais connu l’échec, j’ai simplement découvert dix mille chemins qui ne fonctionnent pas”. Par ailleurs la réalité entrepreneuriale est simple: ceux qui réussissent le mieux, sont ceux qui se sont planté le plus! Et du coup leur champ d’expérience est incroyablement plus grand que ceux qui n’osent pas faire d’erreur.
Si j’avais UN conseil à donner à ceux qui envisagent une reconversion mais n’osent pas se lancer, ce serait de passer à l’action le plus possible! Car c’est en faisant, que l’on apprend, découvre ce qui nous plaît et nous plaît pas, rencontre des personnes, change de perspective. C’est comme cela que l’on avance vraiment. Je sais de quoi je parle car je suis resté des années dans l’indécision, et le jour où je suis passé à l’action cela a tout débloqué!
Après, il y a des grandes étapes qui permettent d’être certain de trouver ce pour quoi on est fait et d’avancer sur son véritable chemin. C’est l’une de mes forces dans mon accompagnement. J’ai compilé tout cela en 3 grandes étapes dans la méthode que j’ai développée: Travail sur soi, Construction du projet de vie, et mise en action. Je détaille cette méthode aux personnes qui sont intéressées par un accompagnement lorsque je leur présente mon offre.
9. On entend souvent dire que l’entrepreneuriat est la voie royale pour notre développement personnel, quel est ton point de vue sur la question? Est-ce que tes clients ont tendance à quitter le salariat pour l’entrepreneuriat ou plutôt à quitter leur emploi pour un autre emploi?
-Alors oui l’entrepreneuriat est une super voie pour le développement personnel. Si je parle de moi par exemple, j’ai davantage grandi en 3 ans en tant qu’entrepreneur qu’en 12 ans en tant que salarié (temps pendant lequel je faisais un travail sur moi).
Mon point de vue est que l’entrepreneuriat est un espace de la réalité où les lois du développement personnel et de l’univers sont exacerbées, plus intenses. C’est comme si le monde de l’entrepreneuriat était une version accélérée de notre monde normal. On y prend plus rapidement des actions, on se trompe plus souvent, on apprend plus vite, on découvre avec une plus grande intensité notre pouvoir créateur, on prend de plus grands risques et on peut avoir de plus grands résultats. De ce fait, c’est un formidable terrain d’évolution.
Mais en contre-partie c’est plus violent. Car quand on se trompe cela peut faire plus mal, les risques peuvent être plus grands.
Beaucoup de mes clients se lancent dans l’entreprenariat, mais cela est dû au fait que j’attire ce genre de profil. Je m’adresse surtout aux personnes sensibles, créatives, multi-talents, à ceux qui ne rentrent pas tout à fait dans les cases de la société. Donc c’est normal qu’ils aient tendance à se créer leur propre vie sur-mesure.
Je dirais que l’entrepreneuriat n’est pas fait pour tout le monde, car cette voie demande tout de même une grande persévérance, être conscient des sacrifices que cela implique, vouloir se remettre en question et accepter une certaine dose de risques. À ce propos il y a plein de personnes tout à fait épanouies dans un travail salarié, ce dernier procurant plein d’avantages que l’entrepreneuriat n’a pas spécialement : sécurité, régularité, possibilité de déconnecter quand on le souhaite, facilités bancaires…
Il n’y a pas de comparaison à faire entre entrepreneuriat et salariat, l’un n’est pas “mieux” que l’autre. Mais par contre j’invite toujours mes clients, même ceux qui choisissent le salariat, à se positionner en tant qu’entrepreneur de leur vie. En faisant cela on honore notre pouvoir créateur, on reprend notre pouvoir personnel et on quitte le monde de la victimisation.
10. Nous sommes ici sur un blog qui parle de livres de développement personnel, as-tu un ou des livres « coup de cœur »? De la même manière, tout comme j’affectionne particulièrement les contenus de Robert Kiyosaky et d’Olivier Roland, as-tu un ou des personnages publics préférés dans le domaine du développement personnel et de l’entreprenariat?
-Mes deux derniers coups de cœur ont été, d’une part le livre, de Joe Dispenza “Rompre avec soi-même” qui parle du pouvoir créateur de la pensée. Joe est un scientifique américain de renommée mondiale qui réussit à unifier dans ses travaux, les dernières découvertes en physique quantique avec la vision des mystiques. C’est la science qui rejoint la spiritualité, c’est juste énorme!
Le 2ème livre coup de cœur a été “La voie du sentir” de Luis Ansa qui n’est rien d’autre que le personnage du roman biographique best-seller “Les sept plumes des l’aigle”. Luis a navigué dans les différentes écoles de connaissances, soufisme, chamanisme, etc. Il propose, inspiré des chamans mais réactualisé pour l’homme occidental, une voie de connaissance de soi qui invite à se connecter à notre richesse intérieure à travers le corps et les sensations qu’il délivre.
Sinon, mon mentor dans le domaine de l’entrepreneuriat, c’est Oussama Ammar. Ce mec est un ovni, une figure hors-norme qui rompt les codes avec lucidité et une intelligence renversante. Il y a plein de vidéos de lui sur Youtube ou sur sa plateforme Koudeta, c’est une mine d’informations, d’expérience et d’énergie stimulante pour les entrepreneurs!
11. Je ne suis pas beaucoup l’évolution du Covid 19 car j’ai peu confiance dans les médias officiels, quel est ton point de vue sur la situation actuelle?
-Mon point de vue, après avoir passé des heures et des heures à chercher de l’information alternative qui globalement se recoupe et fait consensus, c’est que nous sommes arrivés aux limites de notre système mondial capitaliste. Les forces financières qui contrôlent les politiques, les médias, Big Pharma et Big Tech, sont en train d’opérer un grand hold-up mondial sous couvert de ce virus. Le but est de contrôler les populations afin d’asseoir toujours plus leur pouvoir. Les plans sont vraiment très sombres. Malheureusement beaucoup de gens ne peuvent pas admettre cette réalité qui est trop dure et remet trop en question les choses (le déni est un système de protection psychologique utile dans certains cas).
La bonne nouvelle c’est que de plus en plus de gens se réveillent, les vérités vont bientôt éclater au grand jour, et nous allons inexorablement vers un nouveau monde. Le système en place va se casser, c’est une question de mois. Je ne sais pas exactement à quoi ressemblera le nouveau monde qui est en train d’advenir, mais je suis sûr que tout cela va être très positif, plus de lumière, plus de conscience et de respect de la nature.
Malgré les secousses qu’il reste encore à traverser, ce qui va venir va être magnifique et une formidable opportunité d’évolution.
12. Comment arrives-tu à concilier vie professionnelle et vie de papa? As-tu des conseils pour nos lecteurs?
-En criant dans mon oreiller quand je n’en peux plus! La vie de parent c’est un challenge. Surtout les premières années. Enfin cela dépend du contexte et de l’environnement dans lequel on se trouve. Avoir une situation stable, de l’argent et la famille à côté facilite énormément la vie. Tout cela je ne l’avais pas, car j’ai démarré ma vie de papa en même temps que mon activité d’accompagnement, en ayant quitté mon travail et déménagé dans un autre pays. Quasiment tout en même temps quoi! Certains disent que j’ai été courageux, je leur répond que j’ai plutôt été inconscient. Mais ces challenges ont été également des cadeaux et expériences enrichissantes.
J’aime dire que les enfants sont nos plus grands maîtres spirituels, car ils viennent nous chercher là où nous avons quelque chose à travailler, là où ça gratte… Du coup, j’ai beaucoup progressé grâce à ma fille dans le lâcher-prise et l’acceptation (même si j’ai encore du chemin à faire…). Le fait d’avoir moins de temps pour travailler a aussi été un cadeau car j’ai dû focaliser sur les actions qui sont vraiment à haute valeur ajoutée, et ne pas me disperser ou perdre mon temps. Je travaille maintenant bien plus efficacement qu’avant.
Si j’ai des conseils? Et bien c’est de trouver le bon équilibre entre l’optimisation et le lâcher-prise. L’équilibre entre optimiser la situation, son organisation, environnement, énergie, etc. (le coaching peut vraiment aider pour cela), et la partie lâcher-prise sur ce dont tu n’as pas le contrôle (et le coaching peut aussi vraiment aider pour cela).
13. Étant un grand lecteur, je suis un véritable maniaque des citations, quelle est ta citation préférée?
-Ce n’est pas la réussite qui permet d’être heureux, c’est être heureux qui permet de réussir.
14. Comment peut-on te contacter pour pouvoir se faire coacher par toi?
-C’est facile! Pour les personnes qui voudraient commencer un accompagnement avec moi, ou bien celles qui ne se sentent pas vraiment à leur place dans leur vie ou leur travail, qui sont en recherche de sens et se demandent si un accompagnement leur serait utile, je les invite à réserver un petit moment avec moi au téléphone pour faire le point.
Dans cet appel gratuit et sans engagement je les aide à clarifier ce qu’elles sont en train de vivre, ce qu’elles veulent vraiment, ce qui les bloque et ce qu’elles doivent faire pour avancer.
Ensuite si je vois que je peux les aider je leur présente mon offre et comment je travaille. Dans tous les cas, elles ressortent de cet appel avec beaucoup de clarté sur leur situation et avec des pistes concrètes pour avancer.
Comme j’ai beaucoup de demandes, je ne prends au téléphone que les personnes qui sont vraiment motivées à avancer sur leur chemin et à investir sur elles, c’est pourquoi je fais remplir un petit questionnaire au moment de prendre rendez-vous.
Pour réserver cet appel c’est très simple, il suffit d’aller sur mon site www.realisezvous.com et de cliquer sur le bouton “Réserve ton appel Clarté”.
15. Le mot de la fin? As-tu quelque chose d’autres à dire aux lecteurs du blog Lireetavancer?
-Et bien je voulais te remercier chaleureusement pour cette idée d’interview! J’ai pris beaucoup de plaisir à la rédiger. Comme tu avais de bonnes questions, cela m’a permis également de clarifier certaines choses pour moi.
J’espère que mes partages vont permettre d’éclairer, voire peut-être d’inspirer quelques personnes parmi tes lecteurs. Je serais ravi de lire et répondre à vos réactions dans les commentaires.
Je voulais te dire Manu en tout cas que tu es un chouette mec, et que tu fais un super travail avec ton blog, bravo à toi pour ce joli chemin que tu parcours! Je te souhaite plein de joie et de réussite sur ton chemin (après avoir bien entendu défini ce qu’est la réussite pour toi 😉 )
Et n’oubliez pas, vous êtes déjà réalisé !
-Merci beaucoup pour cet entretien Karim, et merci à vous lecteurs de nous avoir suivi, et n’oubliez pas, lisez beaucoup de livres!
(photo de couverture: Karla Leoro)